But no… It isn’t J.O’s sports… That one it watches on TV…
It’s “my” sports!
I went to play table tennis during about 1 h 30(well yes… it’s sports…).
Patricia and Yannick had given me complete set and therefore I used it for the first time together with a Chinese mister who waited for somebody to play!
I really like.
It’s the rain which stopped us…
One wiped by the first one! I came back wet as a soup!
Y’a pas que les athlètes des JO qui sont sportifs…
Mais non… Ce n’est pas le sport des J.O… Celui-là il se regarde à la télé…
C’est « mon » sport !
Je suis allée jouer pendant environ 1 h 30 au ping-pong (ben oui c’est du sport...).
Patricia et Yannick m’avaient offert le set complet et donc je l’ai étrenné en compagnie d’un monsieur chinois qui attendait quelqu’un pour jouer !
J’aime bien.
C’est la pluie qui nous a arrêtés …
Une saucée de première ! Je suis rentrée mouillée comme une soupe.
XINJIANG 2008 chapitre n° 2
Ballade au marché de nuit, beaucoup plus grand que celui de Pékin. Du monde malgré les quelques gouttes de pluie. C’est coloré, animé, bruyant, insolite… des stands de nourriture « locale » par exemple des cocons de ver à soie… à manger… Bon appétit !
Des raisins secs aux couleurs et formes variés. Et du bazar de tout ordre, chaussures, habits, sacs, fouillis divers, des jeux aussi genre tire au fusil dans des ballons pour gagner des animaux en peluches
Dimanche 20
Petit déjeuner dans la chambre avec nos restes de galettes de la veille. Brhhh … un peu dur… Et sans confiture ce n’est le mieux !
Visite du musée d’Urumqi. Il est très intéressant et reprend l’histoire des minorités de la région. Y’a même les explications en anglais et j’ai trouvé un bouquin en anglais !
Déjeuner en ville dans un resto Ouigour… Enfin une petite officine plus qu’un resto ! C’est bon mais les brochettes, là comme ailleurs, sont grasses (comprenez certains morceaux ne sont QUE DU GRAS !) Donc c’est bon si l’on retire le gras… Enfin pour moi car je n’aime pas le gras !
Pour la banque c’est encore raté… Car le dimanche, même si c’est ouvert (et oui…) il n’y a pas de change de T.C !
Courses pour trouver un nouveau sac à dos, car le mien acheté à Pékin juste avant le départ, a déjà rendu l’âme… Pété dès le 1er portage… à la maison… alors bien sur après le voyage en avion le pôôôvre sac est encore plus destroy… Vive les produits « bon marché » qui finalement vous reviennent bien cher comparé au temps d’utilisation…
Nous cherchons dans plusieurs boutiques, certaines très chères, avec des sacs entre 100 et 350 € (vous lisez bien, il s’agit d’euros) Mais voilà, sont-ils costaud ? Ici je n’ai pas trop envie de mettre autant dans un sac ! Finalement j’en trouve un dans les 68 € que je négocie à 55 €. J’espère qu’il tiendra le coût (euh… le coup !)
Puis nous prenons la route pour Turfan (Tulufan) avec Janet (la 2ème guide qui remplacera Amy le dernier jour) et avec la tante d’Amy qui profite de l’occasion pour se rendre à Turpan dans sa famille !
Environ 3 heures de route. Nana notre chauffeur est prudent. Les paysages sont assez désertiques et nous passons dans une vaste zone pleine de moulins à vent.
Arrivée à Tulufan. Arrêt à l’office du tourisme pour acheter les billets d’entrées des sites à visiter les 2 jours suivants. Plusieurs forfaits d’entrées… Mais aucun ne correspond exactement à nos souhaits ! Mais le plus embêtant est le temps d’utilisation du forfait, limité à 24 h. Nous ne pouvons pas les acheter aujourd’hui car le décompte du temps commence dès l’achat ! Et non pas dès la 1ère entrée…. A 18 h aujourd’hui après plus de 3 h de route en plein cagnard, nous n’avons pas vraiment envie de visiter… Il faut discuter assez longtemps avec Amy puis les employés… Mais la règle est la règle ! Nous reviendrons demain !
Amy est guide donc elle n’a pas besoin de billets d’entrée, par contre Janet qui nous accompagne le dernier jour n’est pas guide « officiel » donc pour elle, nous devons acheter les entrées. C’était convenu dans le deal mais ce qui ne l’était pas est d’acheter un forfait de 2 jours avec 7 entrées pour Janet qui ne fera qu’1 jour avec 3 entrées… Il n’est pas question de jouer les radines, mais jeter 19 € par la fenêtre ce n’est pas très malin. Alors il faut encore discuter, expliquer. Nous n’avons pas du tout la même logique… Au début ce n’est jamais possible… Puis après de longs palabres… Ça le devient… Mais combien d’énergie dépensée en persuasion !
Enfin l’installation à l’hôtel : Turpan Grand Hotel. 3 étoiles. C’est bien ici. Mais pour payer c’est compliqué et long. Je demande de payer par carte. D’abord c’est non… Ensuite c’est possible… Mais seulement pour une nuit ! ... Et finalement ils acceptent le paiement pour les 3 nuits… Ça … c’est la logique chinoise bien mystérieuse pour de pauvres français à l’esprit cartésien !
Ballade en ville, 1ère impression de sécheresse et de poussière, beaucoup de travaux partout. Les avenues sont très larges, mais assez peu de voitures, des carrioles tirées par des ânes, des vélos, mais ça reste quand même sportif pour traverser !
La ville est à taille humaine. Les gens ici sont différents. La majorité de la population est Ouigours et musulmane.
Traversée d’un petit parc avec petit bassin, arbres et fleurs et « fraicheur ». Beaucoup de gens, de gamins qui jouent. Il semblerait que la politique de l’enfant unique n’est pas en vogue ici !
Nous arrivons à une très belle allée ombragée par des vignes, tonnelle gorgées de raisins. C’est l’avenue principale de Tulufan, la promenade sur les pavées à l’ombre des vignes est très plaisante.
Amy nous emmène jusqu’au lac « artificiel » de la ville. Espace aménagé, rendez-vous nocturne pour la population. Toute une partie est envahie de lotus en fleur, c’est très joli ! Pour l’instant nous prenons un pot à la terrasse d’un café. Boisson belle pour la vue, colorée et chimique (beurk…) pour nous et pour Amy un truc à la confiture de myrtille et glace pillée… Ça c’est bon !
Trouver un resto ici n’est pas simple… Apparemment il n’y en a pas tant que ça ! Par contre, alignées sur les trottoirs poussiéreux, beaucoup de tables bondées de gens attablés entrain de boire et manger. Du coup nous mangeons dehors, également attablées au milieu des gens et nous achetons la nourriture à des petits stands au bord de la route… C’est du genre « bouiboui » mais il n’y a rien d’autre et nous avons faim ! Amy ne semble pas trop ravie… Poulet rôti façon Ouigour, soupe aux raviolis un peu longue à arriver. C’est bon… Espérons que c’est frais ! Nous découvrons la boisson locale « Kawasi ». Tentative de discussion avec les voisins de la table mitoyenne. Les gens ici semblent plus ouverts et prêt à communiquer avec les quelques mots d’anglais qu’ils connaissent. C’est plutôt sympa.